[L'Intendance]

Rosie Williams

Rosie Williams, Alias "Rose", est la trésorière et l'intendante en chef de la Compagnie.

Elle prépare les commandes, gère les stocks de la Guilde, et elle à le droit de veto sur tout. Les fondateurs lui font confiance pour gérer la Guilde en leur absence. Compétente, patiente, toujours de bonne constitution, elle n'en est néanmoins pas moins ferme et avisée sur ses décisions : elle n'est pas la trésorière depuis plus de dix ans pour rien ! Elle est à la base une enchanteresse civile, et elle se sert de ses dons pour sécuriser les trésors de la Guilde. Elle est très appréciée par les membres de la Guilde. Rosie est mariée à Alfred, l'intendant aux missions.

Alfred Williams

Alfred Williams, est l'Intendant aux Contrats de la Compagnie.

Redoutable et intransigeant, Alfred est un ancien aventurier de la Guilde, qui s'est rendu particulièrement utile au fil des ans grâce à ses contacts et à sa faculté innée à glaner des informations. C'est ce talent qui lui a valu le poste d'Intendant aux Contrats, qu'on appelle aussi "Maître des Missions". C'est lui qui assigne les ordres de missions aux groupes d'aventuriers, et qui fait le tri entre les contrats. Charismatique, expérimenté, intelligent et le verbe agile, c'est quelqu'un à qui on ne la fait pas. C'est le mari de Rosie Williams.

Alban Tyrolin

Alban est l'Intendant à l'équipement de la Guilde.

D'un naturel assez économe, pour ne pas dire pingre, Alban ne laisse rien échapper à ses stocks, qu'il gère d'une main stricte et attentive. Les aventuriers viennent le voir s'ils ont besoin d'un nouvel équipement ou d'une amélioration de leur dortoir... mais chaque aventurier de la Compagnie du Pommier apprend rapidement à redouter son sourire désolé, annonciateur de sa phrase fétiche : "Ah, ça ne va pas être possible..."

Laurent Couquas

Laurent est le cuisinier de la Compagnie, et intendant aux vivres.

Malgré son air simple, Laurent s'acquitte de sa tâche -colossale !- avec sérieux et brio, doté d'un sens inné de l'organisation en ce qui concerne sa cuisine. Laurent Couquas est toujours à la limite d'être débordé, car il faut tout de même rappeler qu'il réalise, seul et chaque jour, deux repas pour cent personnes ! C'est un bourreau de travail humble et discret, doux et gentil, aux grosses mains calleuses et à l’œil sincère. Parfois un peu timide, il n'ose jamais demander d'aide, mais il y a toujours un ou deux aventuriers qui l'aident pour le service. Il est très fier de ses fantastiques favoris.